Le télétravail pose aussi des questions d’équité. Tous les métiers ne s’y prêtent pas, et certains secteurs ou catégories socioprofessionnelles sont moins concernés. Cela peut entraîner des disparités dans les pratiques de mobilité, ainsi que des différences d’accès aux avantages associés.
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L’impact du télétravail sur les transports en commun est également complexe. Si la demande baisse certains jours, elle peut se concentrer les autres, rendant la gestion des horaires plus délicate. Les collectivités doivent donc adapter leur offre en fonction de ces nouveaux comportements.
Enfin, le télétravail incite à repenser la planification urbaine et la localisation des services. L’éloignement des centres-villes, la redéfinition des zones d’activité et la montée en puissance des espaces de coworking sont autant de phénomènes à intégrer pour anticiper les besoins futurs de mobilité.
